Le 17 novembre 2025, à Saint-Aubin-lès-Elbeuf, 500 personnes et des tracteurs convergaient vers le site industriel de BASF, un des 4 premiers producteurs de pesticides mondiaux, en vue de le mettre à l'arrêt.
On y entend les témoignages bouleversants de victimes de l'agrochimie dans l'hexagone et une dénonciation en acte du colonialisme chimique dont ce site est emblématique.
Deux semaines après les révélations sur Sainte-Soline, on y constate que la police française en est arrivée à un tel niveau d'indignité que ses hommes sont prêts à frapper à terre des personnes malades qui pourraient être leurs grand-mères. Et pourtant, pour Gilles, Gisèle, José, Michel, Jean-Claude et leurs ami·es, quand on a 70 ans et que l'on a été systèmatiquement intoxiqué, il n'est désormais plus question de reculer pour mettre fin à cette industrie criminelle. Illes appellent les jeunes générations à sauver les corps et les terres et à les accompagner .











